I am mad

13 07 2009

Ce n’était pas suffisant d’écrire une histoire. Une petite histoire.

Je veux dire, la majorité des fanfictions ont déjà tout raconté, des plus softs aux plus sordides. Pourquoi en rajouter? Visiblement, je n’ai pas compris le concept parce que j’ai commencé une seconde histoire (remarquez ! Je dis « seconde » et non « deuxième » dans l’espoir infime que ma folie s’arrête là) qui commence exactement où se termine la première. Elle s’appelle The Sought-After Words.

Priez pour moi ou internez-moi.

Kiss kiss.





Hobby

7 06 2009

Je suis contente. Oui, je crois que contente est le mot juste. A compter d’hier soir, je suis officiellement la beta-reader de The Angel Israfel et je vais avoir la joie d’éditer, de corriger, de proofreader (oui, le mot n’existe pas en français, qui a jamais dit que ce que je racontais avait un sens ?) au moins trois (si ce n’est quatre) de ces fictions :

– En premier lieu, When Life was Beautiful part II – la première partie ayant été publiée un-beta’d (sur D. Gray Man – dont je suis en train de regarder l’anime à vitesse grand V pour m’imprégner des personnages, de leurs caractères, de leurs faiblesses etc… 26 épisodes en 36 heures, pas mal, pas mal… peut mieux faire)

– Puis pour le 9 juin (anniversaire des jumeaux Hitachiin), le dernier oneshot de Twelve Days, où enfin on pourra peut-être avoir un peu de twincest – mais je ne suis sûre de rien, je n’ai pas encore les spoilers.

– Ensuite, Circus of Night sur DGM, que j’ai lu mais que je dois relire absolument après avoir fini la série (4 saisons, je crois que je sais à quoi je vais passer mes soirées cette semaine). NDLR : Allen est trop chou, et je me demande pourquoi j’adore toujours les mecs avec des cicatrices sur le visage, ça doit être un souvenir d’enfance où Albator était mon héros… Bref, Allen, trop hot….

– When Life was Beautiful Part III (la dernière)

Fixated – et alors celui-là, je l’attends comme jamais : aussi bien pour le lire (comme je le disais, l’avantage d’être une beta, ce sont les spoilers qui pleuvent sur toi, tellement que tu ne sais plus où donner de la tête) que pour l’éditer, parce que toute talentueuse qu’elle est (et elle l’est) Israfel a malgré tout quelques progrès à faire en orthographe et en syntaxe pour que ces écrits soient vraiment bons.

Et le reste, on verra, moi déjà j’attends qu’elle arrive à Fixated, c’est mon histoire préférée : les infamous Hitachiin twins, la dépression, les tentatives de suicide, le sexe, l’amour interdit, la rivalité entre les personnages, la séparation et peut-être… oui peut-être, parce qu’on en est qu’au chapitre 30, les retrouvailles qu’on attend depuis la première ligne.

Bref, je suis une beta. Et je suis contente.

Kiss kiss.





Holiday Power !

25 05 2009

I’m so so sorry, it’s been a week since I wrote anything at all on the blog. I just love doing nothing, nothing, nothing when on vacation. Well, not really on vacation since I didn’t move from home, but that’s a lot of days off work.

As you can see, I don’t remember how to write (or think) in French. I’ve been reading in English all week on my computer (long live FanFiction.Net), my eyes are soooo dead – really, they hurt, I shouldn’t read for more than 10 or 12 hours in one sitting, but I can’t help it, I’m just a fucking addict. As you can see again, it’s also a lot easier to swear in English than in French. For those who want to know what I read, check this one out, by Josie, it’s called « In Place of Modesty » and it’s one which is really very good and well written. Warning however, it’s heavily yaoi and lemon, so if you don’t like or don’t approve of BL*, you really shouldn’t read (Yes, I’m writing that for you P. – but if you, darling C. want to practice your English, that’s a good read).

And now, I’m going back to read. I can’t go to sleep yet even if I want to (I know, I’m shameless, it’s the middle of the afternoon and my naps tend to last hours) ’cause I have to see the cardiologist tomorrow morning : that means I have to actually sleep tonight. I don’t think I have slept at night since last week at the beginning of my vacation. I really am a bad girl.

At the moment, listening : Funhouse, by Pink.

Kiss kiss.

* That’s Boy’s Love, of course.





Pfff, news…

1 05 2009

Usons et abusons des vieux proverbes qui ne veulent rien dire : « Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ». C’est juste que je n’avais rien à dire dimanche ni mercredi, et que je ne me vois pas écrire pour ne rien dire – non pas que ce soit que je ne sois pas capable d’écrire pour ne rien dire, c’est au contraire quelque chose que je fais particulièrement bien, de même que parler pour ne rien dire… chatty chatty – et puis j’avais envie de profiter du week-end. Profiter du week-end pour ne rien faire, bien sûr.

J’ai passé une bonne partie de mon temps sur mon ordinateur à regarder des séries que B. nous avait apporté la dernière fois qu’il est venu. J’avais commencé les premiers épisodes de The Big Bang Theory, j’en ai profité pour continuer et downloader la fin. Certains épisodes – en particulier celui avec la mère de Leonard, neuro-physicienne et psychiatre – sont à hurler de rire, à tel point que P. a dû me dire de baisser d’un ton ; pour ma défense, je n’avais pas remarqué qu’il était deux heures du matin passé. La série reste relativement inégale, parfois hilarante, parfois juste à faire sourire, mais c’est quand même probablement la meilleure série geek que j’ai jamais vue. Entre la physique, l’ingénierie, les batailles de robots, les séries télé de geek et les ordinateurs, certaines critiques ont tendance à penser que la série se répète et réutilise les mêmes gags encore et encore, peu importe. Mon esprit geek – qui n’est pourtant pas la majeure partie de mon esprit – dit YES !

Première saison de Merlin aussi. La série est… pas mal. Je n’ai pas de fautes graves à lui trouver si ce n’est de ne pas coller du tout aux légendes arthuriennes, et de mélanger les rôles des grandes figures celtiques, mais ça se laisse regarder gentiment.

Et puis les deux premières saisons de Junjou Romantica, qui est –et là, je l’avoue sans mal, je ne voulais pas particulièrement downloader cette série, une grave erreur de jugement de ma part – trop kawai. On suit tour à tour trois couples – qui ont des liens entre eux – de leur formation à leurs relations quotidiennes. C’est à la fois l’essence même du yaoi sans être explicitement… explicite. Du coup, j’ai signé la pétition pour qu’ils fassent une saison 3, ce serait vraiment trop dommage que les choses s’arrêtent là.

Je ne fais vraiment pas grand chose de mes journées… Pas grand-chose à dire non plus… Je dois toujours réfléchir 1) à un ou deux hobbies que je n’abandonnerais pas au bout de quelques semaines et 2) à des raisons pour arrêter de fumer pour pouvoir en discuter avec ma psy.

Ah oui, et finalement mon écho cardiaque s’est bien passée. Pas d’anomalies valvulopathiques significatives, fucking jargon médical. Mais je crois que je l’avais déjà dit… Je sais plus.

Je vais retourner larver sur mon canapé. Kiss kiss.





Manga et manga

1 04 2009

J’ai découvert une petite série d’animé japonais en furetant un peu par hasard sur le net. Ouran High School Host Club. Franchement le nom ne me tentait pas des masses et j’ai téléchargé beaucoup d’autres animés avant celui-ci (entre autres le magnifique Ai no Kusabi) et puis – bon j’étais en vacances et je n’avais pas grand chose à faire, vu que je suis toujours mieux au chaud chez moi qu’en train de gambader dans le monde extérieur hostile – j’ai décidé de tremper le bout de mes orteils dans l’eau en regardant le premier épisode, après tout j’avais du temps à perdre et ça ne mange pas de pain.

J’avoue que ma prédilection première s’est portée sur du yaoi, tragique à souhait. Souhait exaucé bien sûr, avec les très bons Ai no Kusabi (précédemment cité), Sukisyo et Loveless, les deux dernières qui se sont révélées à la fois délicieusement adolescentes et malgré tout bien construites et bien pensées. J’en ai profité aussi pour quelques visionnages privés de trucs – skipped hot to directly blazing – en évitant d’aborder le sujet avec P. Genre Boku no Pico (âmes sensibles s’abstenir) ou Sensitive Pornograph (first part very sweet) en version uncensored.

Et puis Ouran, ça a été la surprise.

Je m’attendais à un gentil truc bien gnan-gnan, bien « Kevin » si les Kevin du monde regardait du yaoi (ce qui n’est pas le cas, sauf s’ils sont gays, et encore… nan, même pas, le yaoi c’est vraiment un truc de filles) et j’ai eu à la place une série pleine de finesse, pleine d’humour, pleine de choses qui sont totalement impensables en France parce que trop fucked up pour la mentalité psychorigide et puritaine qui caractérise notre beau pays, et en même temps totalement platoniques. En 26 épisodes, il y a un unique baiser, qui se trouve être en plus un baiser accidentel pas sexy pour deux ronds. Et pourtant… l’histoire est rocambolesque : un jeune étudiant sérieux et pauvre se retrouve par accident à la merci du club d’hôtes très prisé de son lycée pour rembourser une dette, sauf qu’il s’agit en fait d’une étudiante qui considère la notion de genre (masculin / féminin) comme accessoire ; s’en suivent les inévitables histoires cocasses – dont certaines sont proprement hilarantes – c’est plein de beaux gosses, et les jumeaux, aaaaahhh les jumeaux, les sous-entendus sont tellement osés et tellement plus invraisemblables les uns que les autres que j’ai dû avoir les meilleurs fous rires de la décennie.

Bref, une petite perle, qui ne peut même pas se caractériser comme du yaoi, ni même du shônen ai. Un vrai OVNI qui méritait son heure de gloire ici…

NDLR 4/04/09 : Je cherchais désespéremment un mot pour caractériser Ouran Host Club quand j’ai écrit il y a quelques jours ; et je l’ai trouvé aujourd’hui en cuisinant mon petit plat de courgettes, oignons, poivrons et tomates. C’est pêchu !!! Pêchu !!!